Non, cette manif-là n’est pas du samedi 28/4/2013 mais de 2012…
Débaptiser le Pont Bayard pour le dédier à la date symbole du plus grand crime commis par un gouvernement de la France : il fallait le faire ; Cohen l’a fait ! En réalité, cette offensive des porteurs de valises du FLN est tout à fait dans la logique du moment et dépasse la problématique mémorielle de la guerre d’Algérie. Nous sommes en train d’assister à une attaque en règle contre l’ensemble des institutions nationales, c’est-à-dire, contre tous les symbole de la Nation. Dans les banlieues rouges d’Île de France, des maires n’hésitent pas à débaptiser des rues et à les dédier à des membres du FLN. On ne peut mieux dire à quel point la France est, pour ces gens, l’ennemie absolue.
J’ai encore en mémoire cette image de mon enfance, du temps où l’école nous apprenait l’Histoire de France, du Chevalier Bayard mourant sous un chêne de ses blessures reçues en couvrant la retraite française à la bataille de Vercelli. Débaptiser un pont historique du nom du héros Bayard, symbole de courage, de fierté et de grandeur, pour lui substituer celui du 19 mars 1962, symbole de la honte, de la lâcheté, de la petitesse de nos « élites » politiques et de la haine de l’anti-France pour notre pays, est non seulement une provocation aux PN et aux Harkis mais à tous les patriotes. Non seulement les lobbies coalisés qui ont confisqué la France n’ont de cesse de faire disparaître toute référence à la Nation mais ils le font petitement, lâchement et en se salissant eux-mêmes.
Le Maire de Toulouse a fait son coup en douce. Mais on ne s’en étonnera pas de la part de celui qui, au lendemain de son élection, se présentait comme « un Juif de Tunisie » sans aucune référence à sa francité. Monsieur Cohen appartient à cette mouvance juive maghrébine qui a passé un pacte avec le FLN, le lobby immigrationniste et leurs soutiens porteurs de valises pour affaiblir la France (Lire). Quoique se haïssant cordialement, les activistes musulmans et juifs de France s’entendent comme larrons en foire pour rabaisser au maximum notre pays, avec l’objectif commun d’en tirer un maximum d’avantages pour leurs patries de coeurs respectives : pour les uns, la multiplication des visas ; pour les autres, une inflexion de notre politique étrangère en faveur d’Israël. On se souvient de Dominique Strauss-Kahn déclarant à un journal israëlien qu’il se levait chaque matin en se demandant ce qu’il pourrait faire pour Israël. M. Cohen est de la même eau.
Mais, en réalité, tout concourt à cette fin : l’affaiblissement de la France et sa disparition au bénéfice de l’idéologie internationaliste et cosmopolitiste. Car, enfin, ne voyons-nous pas le rapport qu’il y a entre Cahuzac planquant en Suisse l’argent des labos pharmaceutiques, la problématique du trafic d’influence de règle dans nos sphères politiques, ainsi qu’en témoigne ce matin l’affaire du financement de la campagne de Sarkozy et l’enrichissement de bien des membres de son entourage, le mariage gay avec son cortège d’effets induits qu’on élude, la course effrénée à une Europe dont les peuples ne veulent pas, les Français musulmans patriotes livrés à l’internationale islamiste, la France ouverte à tous les vents d’une immigration massive, incontrôlée et prise en charge par les cotisations de nos travailleurs[1], la nationalité française bradée[2], la « morale » laïque à la mode des « frères », c’est-a-dire anticatholique et antinationale, à l’École, etc ? Tout participe à la disparition de la nation et, à terme, de la civilisation françaises.
S’agissant du Pont Bayard, j’ai été choqué de ce que Madame Delmond, présidente du Cercle algérianiste local, et à ce titre censée assurer la veille et organiser éventuellement l’opposition des patriotes toulousains à cette infamie, ne s’est manifestée que la veille de l’inauguration. J’y vois, pour l’avoir expérimenté en une autre occasion, une volonté, de la part d’une personnalité éblouie par la proximité avec des édiles aussi petits soient-ils, de faire semblant d’agir tout en ménageant le Maire de Toulouse. En effet, tant le Cercle algérianiste que le CFANOM (Centre des Français d’Afrique du Nord et d’Outre-Mer), dont elle occupe plus qu’elle n’assure les présidences, sont domiciliés au sein-même du Capitole. Je ne peux imaginer qu’elle n’ait eu l’information que le vendredi pour le samedi. Mais je ne m’en étonne pas, encore une fois : beaucoup de nos « responsables » d’associations occupent les fonctions plus qu’ils ne les exercent avec un seul objectif, paralyser autant que possible les velléités activistes des PN, avec l’espoir d’y gagner quelque chose pour eux-mêmes. C’est tout aussi vrai pour les Harkis. Résultat : là comme ailleurs, nous allons arriver après la bataille !
[1] Chiffres INSEE : le taux de chômage des immigrés était de 16,3% en 2011, contre 8,5% pour le reste de la population non immigrée, selon une étude du ministère du Travail publiée le 31 octobre 2012. Pour ceux qui sont originaires du Maghreb et d’Afrique subsaharienne, il approchait les 23% alors qu’il ne dépassait pas 5% ches les Immigrés de la péninsule ibérique.
[2] 260 000 entrées en 2011 ; 195 000 acquisitions, à près de 100% d’origine africaine (les Européens n’ont pas besoin de la naturalisation française pour obtenir des droits), dont 143 000 naturalisations (105 000 personnes en 2010), auxquels s’joutaient 52 000 acquisitions par d’autres voies. Avec des conditions de présence ramenées de cinq à trois ans par le ministre Valls, et l’ouverture des frontières que le pouvoir socialiste ne manquera pas d’effectuer, ces chiffres vont très vite exploser.