Insultes aux PN : sur France Inter, ça n’arrête pas

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    Connaissez-vous ce type ? Non ? Pas étonnant : ce mec est personne et ce n’est pas une faute de Français. J’entends par là que, quoique enseignant à Sciences-Po, ou, même, à cause de ça, qu’il n’a aucune qualité pour ouvrir sa gueule sinon celle que lui confère le lobby intello-gauchiste qui a pris possession des médias notamment publics. Il s’appelle Thomas Guénolé et étale sa jeune science sur tous les torchons qui portent la bonne parole du système, le Figaro, Valeurs actuelles et l’Express exceptés. A l’âge où d’autres cherchent encore leur voie, lui se fait déjà inviter sur le service public de radiotélévision pour dispenser sa fausse science, répandre ses préjugés et stigmatiser un peuple PN habitué à subir.

    Lundi, au journal de 13h de France Inter, il s’est montré digne de la confiance des fossoyeurs de civilisation. Mais, qu’on se rassure : il ne prenait pas trop de risque ; il était en terrain conquis. France Inter et France Culture sont les quasi porte-parole de l’anti-France. Appelé à commenter la déclaration faite par Estrosi dimanche 7 sur les gens du voyage, des propos aussitôt rapprochés, comme de juste, de ceux de Le Pen du 4 juillet, c’est-à-dire trois jours auparavant, ce « monsieur » a dit, ce sont ses termes exacts : « C’est un fait que, culturellement, le racisme est quand même plus développé dans le Sud de la France. Cela s’explique en partie, faut dire les choses, par le fait qu’il y a une très forte communauté pied-noir, dans le sud de la France. J’suis en train de dire ça, je suppose que vous allez recevoir beaucoup de courrier. C’est malheureusement un constat. » 

    Effectivement, plusieurs PN qui ont entendu ces injures, dont Danielle et Jean-Pierre Pister, ainsi que Manuel Gomez, ont écrit à leur auteur ou à France Inter. Moi, pas !

    Il est temps, comme je l’ai dit à la suite des injures d’Elkabbach aux Harkis et à notre Armée, de comprendre que ces gens ne parlent pas au hasard. Ils nous font la guerre ! Et ils nous la font avec l’aide et le soutien des Institutions elles-mêmes. Or, Churchill disait qu’il faut éviter la guerre mais que, quand elle est là, il faut la faire. Les Kabyles ajoutent : « A chaque coup reçu, en porter trois ! » Alors, voici ce que je vais faire : me rendre dès demain matin à la gendarmerie la plus proche et porter plainte. Ça tombe bien : les gendarmes de Nailloux (Haute-Garonne) me connaissent déjà suite à l’affaire Elkabbach. Et je propose à tous les PN d’en faire autant.

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Post-scriptum (mercredi 10 juil. à 12h42).

    1. Je me suis rendu à la gendarmerie de Nailloux ce matin. J’ai trouvé portes closes, l’ouverture ne se faisant qu’à 14 h. J’y serai. 

    2. Beaucoup de nos compatriotes sont ulcérés par cette nouvelle agression gratuite. Je remercie collectivement tous les lecteurs qui prennent la peine de mettre un commentaire de soutien et qui me proposent de les citer en soutien. J’y suis évidemment sensible mais, juridiquement, cela n’aurait aucune valeur car la plainte collective n’existe pas en France. Je recommande à chacun de faire un geste supplémentaire en écrivant au Procureur de la République de sa circonscription judiciaire ou, mieux, en allant directement à la gendarmerie de sa commune déposer une plainte individuelle.

    3. Continuez néanmoins de poster vos commentaires de soutien et, si possible, diffuser ce texte à vos proches ou collègues, y compris non-PNH. Ce ne sont pas les Institutions ou les médias qui nous défendront le mieux mais les Français, pourvu qu’ils sachent.

    4. Il semble qu’une riposte concertée se dessine par ailleurs. A suivre !

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