Agir pour le Peuple et la Nation (2)

Fédération des Patriotes, Nationistes et Souverainistes : notre projet. 

Doctrine et politique

    La Fédération des Patriotes, Nationistes et Souverainistes est indépendante ; elle a sa propre orientation philosophique et politique.

    Sa doctrine est le nationisme, qui signifie que la Nation est le cadre le plus abouti de socialisation des Hommes. Etre nationiste, c’est aimer et servir sa patrie dans le respect de celle des autres. La Fédération PNS refuse tout impérialisme, qu’il soit guerrier ou pacifique, territorial ou moral. Elle lui préfère l’influence, laquelle s’exerce par la possibilité d’apporter quelque chose aux autres mais aussi, et sans doute plus encore, par l’exemple.

    Les Français sont souverains chez eux et ne se mêlent pas de la manière dont les autres Peuples-Nations s’organisent et se gèrent. Ils recherchent en toutes choses l’harmonie et la bonne entente avec les autres Peuples-Nations et entretiennent avec eux des relations d’égalité et de respect.

    Sur l’échiquier politique, la Fédération PNS se situe à droite des Reps (LR). Je ne dis rien par rapport au FN car celui-ci ne sait plus où il habite.

    La Fédération réunit des Français qui ont une nette perception du clivage droite-gauche. La Droite (la vraie, pas la pseudo-droite atlantiste et européiste) est nationale, patriote, souverainiste et attachée à notre modèle de société basé sur la civilisation d’inspiration romaine-chrétienne. La Gauche est internationaliste.

    La Fédération est personnaliste ; elle est pour les droits de la personne et non pour les droits des individus. Pour elle, la cellule de base est la famille ; la Nation et le Peuple français sont un ensemble de cercles familiaux concentriques (Barrès) dont la famille – un père, une mère, des enfants – sont le coeur et le noyau (d’où en sociologie les vocables « famille nucléaire »).

Projet général : Rendre la souveraineté aux Français.

    La Fédération annonce d’avance qu’elle va, en 2017, gouverner avec tous les partis patriotes et nationistes, y compris le FN, sur la base d’un programme commun des Patriotes.

Projet à court terme : mettre en place et structurer la Fédération des Patriotes, Nationistes et Souverainistes. 

    Sa vocation est nationale. Pourront y adhérer des formations existantes : partis, associations, clubs, etc. Les Patriotes qui le souhaitent pourront adhérer à titre personnel.

Calendrier 2016

    Les Patriotes sont invités à rejoindre le groupe Peuple et Nation de France sur facebook qui servira de quartier général virtuel et de forum (le forum est le lieu où, à Rome, les citoyens venaient échanger des informations, débattre et décider ensemble).

    Les organisations déjà structurées (je suis en contact avec nombre d’entre elles) sont invitées à manifester leur intérêt pour ce projet et à organiser chez elles des réunions d’information où je me rendrai pour l’expliquer en profondeur et répondre aux questions (plusieurs rencontres sont déjà prévues). Pour les réunions publiques, l’information passera en temps voulu c’est-à-dire quand les dates définitives et les les en seront fixés.

    Les Patriotes qui souhaitent adhérer directement et s’engager, sont invités à se faire connaître dès maintenant non pas en publiant mais en m’envoyant un message.
Des réunion de travail sont d’ores-et-déjà programmées. Elles vont se multiplier pour déboucher sur un Conseil national en avril ou mai et un Congrès en septembre.

Notre projet pour 2017

    Participer activement aux élections présidentielle et législatives et à la victoire des Patriotes, Nationaux et Souverainistes, dans le cadre d’une coalition à deux ou à trois dont la Fédération sera le pivot, sur la base d’un programme commun de gouvernement.

Trois options, qui ne dépendront pas de nous, sont envisagées :

• Fédération + PN + LR ;
• Fédération + PN ;
• Fédération + LR.

A défaut d’une coalition, la Fédération sera en situation de gagner seule car le refus des partis de s’unir avec nous sera interprété par les Patriotes qui ne votent ni LR ni FN comme une mauvaise volonté de ces deux partis et, plus grave, comme un abandon de la France. Il est probable alors que des personnalités de ces deux partis favorables à la coalition se rallieront à nous.

Programme commun de gouvernement

    Thèmes fondamentaux sur lesquels les partis coalisés devront s’engager :
. Abolition du mariage gay et interdiction de l’adoption d’enfants par les couples homosexuels. Le Mariage est un devoir institué par TOUTES les civilisations pour garantir l’éducation des enfants par un père et une mère ; ce n’est pas un droit individuel.

. Renégociation de TOUS les traités européens sur la base du recouvrement par la France de la souveraineté intégrale : Europe des Nations vs l’Europe supranationale. L’Europe n’est une nation ni dans la réalité, ni dans les perspectives, ni même dans l’idéal. L’Europe n’est rien de plus que le cadre d’un accord de coopération générale privilégiée entre des Nations souveraines.

. Sortie de l’OTAN : la France, qui a sacrifié énormément de ressources pour construire une défense digne d’une puissance alors que les autres pays européens à l’exception de la Grande-Bretagne s’en exemptaient ne peut pas faire dépendre son existence et ses intérêts stratégiques d’une autre puissance, fût-elle amie.

. Fin des négociations sur le TAFTA, ce, pas seulement parce que les études démontrent qu’il n’est d’aucune apport pour notre économie et notre prospérité. Les modalités du TAFTA sont une insulte à notre libre-arbitre et au droit des Français à opter souverainement pour une éthique de production et de consommation.

. Arrêt TOTAL de l’immigration (immigration zéro).

. Réformes des lois sur la nationalité et la citoyenneté : suppression de la double nationalité ; fin du droit du sol ; fin du regroupement familial.

    Les autres compétences de l’Etat seront négociées le moment venu.

Programme général

    Je prépare actuellement une plate-forme-programme tirée de mon livre La France confisquée. Elle servira de base pour la rédaction en interne du programme politique de la Fédération. Elle résulte d’une réflexion sur les causes de la décadence de notre pays. Ces causes ne sont pas seulement de pratique, elles sont aussi institutionnelles, avec, à l’origine, une volonté manifeste de nos élites cosmopolitistes (favorables à un gouvernement mondial avec, comme première étape, une Europe supranationale) de faire disparaître les Nations.

Elle traitera des thèmes suivants :

• Les Institutions : périmètre de l’Etat (suppression du Sénat, du Conseil économique, social et environnemental, suppression des Régions ), mode de scrutin (proportionnel avec prime de 15%^[1], distribution des pouvoirs, organisation politico-administrative, statut du politique et de la fonction publique, cas de la Justice, rapport de l’Etat avec les corps sociaux (syndicats, associations, entreprises, presse), place de l’Outremer dans la Nation, etc.
• La fiscalité et les finances publiques.
• L’École (Enseignement public et non éducation nationale).
• La défense.
• L’Europe.
• Les affaires étrangères et la diplomatie.
• La santé.
• Protection sociale, prévention et solidarité (Nationalisation de la Sécurité sociale, fiscalisation de la solidarité et de la politique familiale).
• La familiale.
• L’aménagement du territoire.
• La politique agricole : réforme de la PAC, statut et rémunération des agriculteurs.
• La Nation une et indivisible : immigration communautarisation, place de l’Islam (lire Plaidoyer pour un islam anglican français 1 et 2. L’immigration zéro imposée, reste à gérer le phénomène tel qu’il résulte de trente ans de politique irrationnelle. La question de l’Islam doit être réglée par une doctrine officielle disant clairement ce qui, dans l’Islam, est compatible et ce qui ne l’est pas avec le modèle de français société.
• Les questions sociétales, de civilisation et d’éthique.

Calendrier des réformes

    L’action de la Fédération au pouvoir s’inspirera du principe de la réforme radicale. Le Peuple français sera très vite consulté sur les questions qui relèvent du choix de civilisation et sur les institutions.

    Les autres domaines de compétence du politique feront l’objet de projets de lois soumis à la représentation nationale.

    Un référendum général à questions multiples sera organisé dans les trois mois suivant les législatives de 2017 sur :
. une réforme radicale des institutions :
. la Justice comme institution indépendante et sécurisée par une forte augmentation de ses moyens
. l’abolition des lois dites « sociétales » : mariage pour tous, lois mémorielles, parité, discrimination « positive », droit du sol, bi-nationalité, droit au logement ;
. le rétablissement du service national ;
. la renégociation de tous les traités européens dans le sens d’une renationalisation de la souveraineté de la France, notamment sur la question du contrôle des frontières et ceux du droit d’asile et de l’immigration.Dans les six mois suivants, sont engagées les réformes suivantes :
. la fiscalité : impôts supprimés et impôts réformés ;
. la défense : retour à une défense maîtrisée, nationale et indépendante = augmentation des moyens et rétablissement du service national ;
. l’enseignement public : l’École libre sous la tutelle d’un État financeur et contrôleur ;
. la santé, un secteur sinistré : formation et recrutement, numerus clausus médical, médecine hospitalière, médecine de ville, politique du médicament ;
. la protection sociale (maladie, accidents) et de prévention (retraites, chômage) ;
. l’aménagement du territoire : c’ est le domaine privilégié de la présence nécessaire de l’État ; d’une part parce qu’il revêt un caractère stratégique : voies de communication, réseaux numériques et hertziens ; d’autre part parce que les activités de service public d’intérêt vital y sont prédominantes : énergie, eau, traitement des déchets, protection de l’environnement et des espèces.

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^[1] Et non 25%, ce qui revient pratiquement au scrutin majoritaire.