En marge des attentats de Paris, deux ou trois questions qui ne seront pas posées

Au fait, qui finance le radicalisme islamiste en France ? Réponse : nous tous !

Chameau-égorgé    Savez-vous comment sont financées les instances religieuses juives et musulmanes de France ? La réponse est : l’abattage rituel kascher et hallal. En effet, le Consistoire israélite de France et le Conseil français du culte musulman (CFCM) et leurs nombreuses antennes locales perçoivent 1 € par kilo de viande abattue selon les rituels juifs et musulmans. Or, chaque année, quelque 200 000 tonnes de viandes bénéficient officiellement du label. Ce sont donc 200 millions d’€uros qui tombent directement dans l’escarcelle des organisations cultuelles et dans les caisses des mosquées. D’où leur prolifération et la concurrence qui les oppose pour capter le maximum de la manne. Et, d’où, effet collatéral, l’investissement de celles-ci par des imams autoproclamés qui trouvent dans leur vocation tardive non seulement un sacerdoce mais aussi une situation sociale. Car les imams en tirent des avantages matériels et financiers directs.

    Cet argent est directement collecté par des entreprises d’abattage rituel qui, elles aussi, ont proliféré. Dans cette industrie très rentable (5,5 mds€ de chiffre d’affaire en 2010), beaucoup d’abattoirs sont aux mains de sociétés dirigées par des Juifs. Ce qui est historiquement logique compte tenu de l’ancienneté de cette activité. Jusqu’à ce que le système soit officialisé et réglementé avec, notamment, l’interdiction de l’abattage privé et l’obligation de recourir à des abattoirs contrôlés, ils étaient pratiquement seuls sur le marché. Les Musulmans de France se débrouillaient par ailleurs ou s’adressaient à eux pour leur approvisionnement.

    Jusque là, il n’y a rien de scandaleux si ce n’est le mode d’abattage en lui-même, interdit dans certains pays dont le Danemark, pays où les Musulmans ne sont pas les plus malheureux d’Europe. Mais ça le devient quand on apprend que ‘les abattages rituels doivent avoir lieu dans des abattoirs agréés bénéficiant expressément d’une autorisation à déroger à l’obligation d’étourdissement. Autrement dit, le principe de lutte contre la souffrance animale qui s’impose à l’abattage des animaux ne s’applique pas à ceux destinés aux boucheries hallal ou kasher. Premier scandale.

    Mais cela se complique par un scandale plus grave encore, non sur le plan moral mais sur le plan du fonctionnement de notre société, quand on sait que les abattoirs, qui ne sont pas spécialisés, font des économies d’échelle en ne s’équipant que de chaînes d’abattage rituel. Ces abattoirs ne produisent que de la viande rituellement conforme mais cela ne les empêche pas de vendre tous azimuts. Cette pratique est autorisée et elle ne fait même pas l’objet d’un étiquetage obligatoire. Ainsi, la traçabilité de la viande de boucherie et l’information des consommateurs, obligatoires depuis la crise de la vache folle, ne concernent pas au mode d’abattage. La complicité des pouvoirs publics est là évidente car aucun abattoir ne peut faire de l’abattage rituel s’il n’est agréé. Une complaisance criminelle si on songe que l’égorgement des animaux, barbare au regards de nos normes sociales et morales, et qui se pratique sans endormissement, encore une fois, est par ailleurs une pratique dangereuse sur le plan sanitaire.

    Il est vrai que les intérêts de l’industrie de la viande rejoignent les visées idéologiques et communautaristes de nos élites politiques, lesquelles ne peuvent se réaliser que par l’ignorance des citoyens. A ceux qui s’élèvent contre ces pratiques et invoquent leur droit à savoir ce qu’ils mangent, l’administration répond : “Il n’y a aucun danger à manger de la viande hallal !” Quid de la volonté des individus et de la liberté de choix des citoyens ? Rien ! Seuls les critères objectifs président à l’autorisation ou à l’interdiction de la commercialisation sans étiquetage de la viande abattue selon des rites religieux. L’administration dénie à chaque citoyen le droit de choisir son mode de consommation en connaissance de cause sans avoir à se justifier. Cela ne vous rappelle-t-il pas quelque chose ? C’est ce que le TAFTA prétend généraliser sans que les Peuples aient leur mot à dire (on y reviendra très bientôt car l’échéance funeste de sa signature approche).

Moyennant quoi, suivant les enquêtes, on estimait en 2008 la consommation de viande hallal-kasher entre 10 et 32 % de la viande bovine abattue en France, et plus pour les ovins. En 2008 ! On imagine à quelle niveau ces chiffres sont montés compte tenu de l’augmentation de la population musulmane depuis sept ans.

Conclusion, les consommateurs de viande de boucherie contribuent TOUS au financement du terrorisme islamiste. Evidemment, exprimée comme ça, la proposition est, je le reconnais volontiers, outrancière. J’admets même qu’il y a dans cette formulation quelque chose d’une provocation. Or, pour dénoncer une saloperie (car c’en est une), un lanceur d’alerte ne peut pas se contenter d’une argumentation policée et mesurée.

Je maintiens que TOUS les consommateurs de viande de boucherie (j’en suis un) participent au terrorisme islamiste. Certes, la taxe d’1 €uro par kilo de viande rituellement abattue est versée à la caisse des bouchers hallal et kasher. La viande que vous achetez chez votre boucher-charcutier n’y est pas assujettie même s’il y a 40% de chances ou plutôt de risques qu’elle soit issue d’un abattage rituel. La viande que vous mangez dans votre cantine d’entreprise ou au restaurant, celle qu’on sert à vos enfants dans les cantines scolaires ne sont pas non plus concernées, même si elles aussi sont en partie hallal-kasher. Donc, vous ne financez pas DIRECTEMENT le terrorisme islamiste. Mais vous le financez INDIRECTEMENT en vertu de notre système fiscal qui permet aux contribuables auteurs de dons aux associations à vocation cultuelle, culturelle, sociale et sportive de bénéficier de réductions d’impôts.

L’islam français, très salafisé, bénéficie beaucoup de ces dons, qui proviennent notamment de riches Musulmans qui ont réussi dans les affaires. Mais le plus gros de leurs ressources provient de la contribution que chaque Musulman verse en personne à la mosquée de sa commune, de son quartier ou de son village. Cela s’appelle zakât, autrement dit l’aumône légale, un impôt communautaire auquel tous les Musulmans, dont les commerçants, notamment, ne peuvent se soustraire sous peine de sortir de leur “communauté”. Ces versements, qui donnent droit à réductions d’impôts, participent au financement des mosquées indépendamment de la taxe officielle d’1€ par kg de viande rituelle. Or, ses mosquées sont quasiment toutes acquises au salafisme, c’est-à-dire au courant fondamentaliste qui prône le retour à un islam fantasmé, faussement supposé plus proche de celui des origines donc plus vertueux. Or, si salafisme ne signifie pas terrorisme, si le salafisme ne conduit pas obligatoirement au djihadisme terroriste, autrement dit si tous les salafistes ne sont pas des terroristes et si une infime minorité de Musulmans salafisés n’est ni séduit ni tenté par le djihadisme islamiste, il n’en reste pas moins que les djihadistes islamistes eux, se revendiquent du salafisme. Et il n’en reste pas moins que beaucoup de Musulmans applaudissent secrètement à leurs sinistres “exploits”.

L’islam des années soixante était national, pacifique et admirateur du modèle occidental auquel il tentait de s’adapter, faute de lui ressembler, en se sécularisant progressivement ; pour des raisons que nous avons beaucoup traitées ici, il s’est radicalisé en s’internationalisant, c’est-à-dire en remettant en question l’ordre universel basé sur les Nations et les patries. Dans sa version la plus radicale et la plus haineuse de l’Occident et de sa civilisation, il a donné Al QaïdaDaech et leurs épigones qu’on a vus à l’oeuvre à Toulouse, New-York, Madrid, Londres, Bruxelles, Paris, etc. Sans la salafisation de nos Musulmans au point de penser que la prière du vendredi est plus importante que celles auxquelles ils sont invitées cinq fois par jour chez eux, sans la salafisation qui leur a mis dans le crâne qu’il fallait faire manquer l’école à leurs enfants de six ans pour qu’ils assistent, déguisés en Afghans, à la prière du vendredi (ce qui est parfaitement illicite, les enfants n’étant concernés par la religion qu’à partir de la puberté), sans la salafisation des mosquées subventionnées par l’argent public et celui des consommateurs que nous sommes, IL N’Y AURAIT PAS EU D’ATTENTATS DE TOULOUSE ET DE PARIS.

Conclusion : en finançant les mosquées salafisées, mais aussi en finançant les associations de quartiers où des jeunes se préparent au grand soir en pratiquant les arts martiaux, nous finançons les attentats terroristes.

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3 Responses to En marge des attentats de Paris, deux ou trois questions qui ne seront pas posées

  1. annie says:

    sur les marchés du sud : Gard , Hérault etc. les bouchers musulmans vendent de la viande hallal , les clientes ne sont pas toutes musulmanes car la viande est moins chère ! et oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    merci Kader de votre blog

  2. domichel says:

    on est passé d’un islam verniculaire des années 6o à un Islam qui possède un pouvoir de pression politique, la faute à qui ? ( les consciences de nos édiles politiques responsables vont-elles se réveiller , Permettez moi d’en douter !)
    Tout votre article le dénonce ……………..Et tous les attentats des années 80 à nos jours en est l’exemple ………….
    j’attends qu’un ou une plus optimiste que moi me arrive à me démontrer le contraire.

  3. miane says:

    oui c’est vrai !
    mais la France est peuplée de bisounours manipulés par les malhonnêtes qui tiennent les manettes.

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