Après Hassen Chalghoumi, Latifa Ibn Ziaten : quand les médias imposent leurs interlocuteurs musulmans aux Français
Cette femme est de toutes les télés et de toutes les rédactions. Mère (les médias disent « maman » car ils ignorent que ce mot est réservé aux enfants pour parler à leur mère) de la première victime de Mohamed Merah, un soldat français d’origine marocaine, elle est, comme le faux imam de la mosquée de Drancy qui fait honte aux musulmans de France, devenue leur représentante médiatique sinon officielle par la vertu de l’exposition médiatique. Depuis quatre jours, on l’entend dans toutes les radios et on la voit sur tous les écrans de télévision. Continuer la lecture
Huit auteurs des attentats de vendredi – dont six fichés S – ont été identifiés et la Police est sur la piste d’un neuvième. Leurs connections ont été mises au jour et leurs bases localisées : leur centre névralgique, la commune de Molenbeek en Belgique, haut lieu de l’islamisme radical. Le personnage qui a revendiqué les attentats à partir de la Syrie est connu : c’est un Toulousain originaire de la Réunion converti à l’islam et complice de Merah dont on sait que les crimes ont été organisés par la cellule djihadiste de l’Ariège. Même leur donneur d’ordre a été identifié. 
Cela n’a pas traîné ; ce que je craignais est en train de se préciser. François Hollande profite de la tragédie pour faire de la politique politicienne. La convocation du Parlement en Congrès à Versailles en était la première manifestation. Il n’y a pas de petit profit ; se faire applaudir par l’opposition en était un, Hollande a saisi l’occasion. Si, tant qu’à faire, on peut la mettre dans l’embarras sur le long terme, c’est tout bénéfice. Au passage, on en profite pour utiliser un mot fétiche tout droit sorti du cerveau fertile des communicant : le pacte. 
On nous dit que la France est en guerre. De fait, c’est vrai ; de jure, c’est faux. Que Hollande, sa bande, ses complices et ses porte-voix continuent de le proclamer à longueur de journée en profitant de la servilité de médias patentés et aux ordres n’y changera rien. La guerre de Syrie n’est pas la guerre de la France ; c’est celle des dangereux atlantistes qui servent de bras armé à ce que l’Amérique a produit de plus dangereux pour la paix du Monde. Des maîtres qu’ils ont d’ailleurs dépassés en agressivité et en bellicisme puisque la France est la dernière grande puissance à poser des conditions irraisonnables aux négociations de paix. 
Dans mon article de samedi Alger 57 – Paris 2015, je préconisais l’adoption d’un dispositif de prévention des attentats calqué sur celui mis en place lors de la bataille d’Alger de 1957. J’en précisais l’esprit en écartant d’emblée quelques aspects dudit dispositif : l’arbitraire et l’appel à l’Armée. Notre Armée n’est pas adaptée à une crise en temps de paix ; d’ailleurs, elle n’est pas capable de se déployer plus qu’elle ne le fait déjà compte tenu de ses multiples engagements extérieurs. 
Des fusillades dans le quartier de la République ; un restaurant attaqué à l’arme automatique dans le 10è arrondissement ; une fusillade dans le 11è arrondissement voisin, près du Bataclan, où se déroule une prise d’otages ; plusieurs explosions près du Stade de France, pendant le match de football opposant la France à l’Allemagne. A l’heure où j’écris ces lignes, plusieurs morts sont déplorés, dont celles d’un individu abattu par les forces de l’ordre et trois kamikazes qui se sont fait sauter aux abords du Stade de France. Selon toute probabilités, compte tenu du grand nombre de « blessés » annoncés, on déplorera à la fin de ces événements plusieurs morts français.
Très amusante cette campagne antirusse sur le thème du « dopage d’Etat ». Ainsi, il paraît que le dopage des athlètes russes est institutionnalisé ! Et les médias de gloser sur le « consentement des autorités [russes] ». Comme si les « autorités » américaines, depuis 70 ans que leurs athlètes partagent les titres, les médailles et les records avec ceux de l’URSS puis de la Russie, n’ont jamais « consenti » au dopage !